La prise d’otage politique de l’Université de Lausanne (UNIL) depuis quelques jours par une bande d’activistes politiques lève le voile sur des années de politisation rampante naïvement tolérée, sinon soutenue, par le rectorat. Il faut siffler la fin de la récréation. Les événements de ces derniers jours à l’UNIL sont honteux pour notre canton etLire la suite